projet de nouveau gymnase: « une aberration » selon François Chevallier, tête de liste « En Marche » municipale 2020

Mercredi 05 février, réunion de réflexion d'un groupe de la paroisse de Saint Arnoult sur le thème "les élections municipales". François Chevallier, tête de liste "En Marche" (avec Sabine Denizot") était présent, mentionnant dans ses interventions le thème des "projets communaux".

Fin de la réunion, il est demandé à ce dernier ce qu'il pense du projet de nouveau gymnase à Saint Arnoult.

"Une aberration*" lance-t-il aux oreilles à son écoute. Des questions lui sont alors posées sur le fait que, s'il trouve que ce projet est une aberration, ni lui ni Sabine Denizot ne se sont jamais précédemment manifesté(e)s auprès de la mairie, jamais supporté l'action de l'association "Comités de Quartiers" Totalement muets depuis notre information à Aurore Bergé le 15 décembre 2017 (voir article) députée de leur parti de soutenance "En Marche". Aucune réaction, suite aux nombreux articles de notre site sur le sujet et dont il était destinataire (voir article) (voir article) (voir article) (voir article) (voir article) (voir article) (voir article) (voir article) (voir article) (voie article).

Le projet et le financement du nouveau gymnase ne l'ont jamais intéressé, pas plus que Sabine Denizot sa co-listière, . Laissé(e)s sans aucune réaction.

François Chevallier et Sabine Denizot laissé(e)s sans réaction face à un projet inutile jusqu'à preuve du contraire, et qui coûtera aux arnolphien(ne)s:

• 2 000 000 d'euros pour son financement
• 500 000 euros d'intérêt pour le crédit de 40 ans (voir article)
• 500 000 euros "redonnés" par l'USSA à la mairie... ces 500 000 euros étant issus des impôts des arnolphien(ne)s. Financement de plus suspecté illégal.

François Chevallier et Sabine Denizot laissé(e)s sans réaction face à ce crédit qui engage les 6 à 7 futur(e)s maires ainsi que nos enfants et petits enfants sur une période de 40 ans ?

Projet et ses conséquences qui les ont laissé(e)s sans réaction malgré que François Chevallier trouve ce projet de plus de 5 000 000 d'euros dont 3 000 000 à la charge des arnolphien(ne)s "aberrant" ?

Une réaction dès 2017 aurait peut être permis de freiner les démarches attachées à ce projet et permettre d'y mettre fin aux prochaines élections de mars 2020 sans préjudices pour les arnolphien(ne)s. Mais comme le maire et son équipe ont eu les mains libres, des/les engagements y compris financiers pris à ce jour par la mairie sont peut-être irréversibles.

Des égos plus importants que l'intérêt des arnolphien(ne)s... de nouveaux "Husson"

Les politiciens sont ainsi fait et ils n'en n'ont aucune honte... mais nous, on en veut pas pour s'occuper de notre ville.

* "Aberration" selon le Larrousse: accès de folie, égarement, grave erreur de jugement , absurdité