Jean-Miche Bruneau, adjoint au maire à la sécurité nous avait déja montré lors du conseil municipal de mars qu'il était temps pour lui de prendre sa retraite de son mandat d'élu: il ne comprend plus les quetions, ne maitrise plus les dossiers jusqu'à ne plus savoir de quel carrefour son interlocuteur lui parle... sauvé en mars par l'adjointe Aurore Colin feignant alors une opportuniste surdité, il a fallu de nouveau un "sauvetage pour éviter le naufrage" en arvril, cette fois ci du maire qui a usé de son pouvoir de censure en empêchant Alain Vidril de la minorité municipale de s'exprimer totalement. Explications:
Lors du conseil municipal d'avril, la minorité municipale a de nouveau fait remarquer à Jean-Michel Bruneau par l'intermédiaire d'une question écrite, que des panneaux routiers étaient inadaptés, pas à leurs places. Pour la petite histoire cela fait des années que nous avons averti l'adjoint de la mauvaise panneautation du quartier de la rue Basse (Zone de Rencontre), strictement rien n'a été fait alors que ce n'est que changement de panneaux de place.
Pour les questions écrites au conseil municipal, il est convenu que ce soit le maire qui lise le texte de cette question :
"...le panneau de sens interdit de la rue du Coq n'est que très peu visible lorsque le store du commerce est fermé, il devient totalement invisible lorsque le store est ouvert..."
J'an-Michel Bruneau remercie Alain Vidril de poser des questions écrites qui présentent par rapport aux questions orales l'avantage d'éviter les incompréhensions... deux adjoints vont montrer que ce n'est pas le cas.
Par la suite Jean-Michel Bruneau avance
"...le sens interdit à l'angle de la rue Eugène Renaud rue du Coq n'est pas indispensable..."... ah ?, Aurore Colin qui lui avait sauvé la mise en mars, montre maintenant l'incompétence de ce dernier à l'assemblée. Elle montre également sa capacité a détourner en public la parole d'Alain Vidril (la question était écrite !).
Il est important de noter qu'à l'instant où c'est Aurore Colin, servile vassale à Louis Husson le XIV, qui prend la parole, le roi ne fait aucune réflexion, le commentaire oral d'une question écrite par un membre de son équipe ne pose pas de problème.
Aurore Colin avance que le panneau de sens interdit "...qui aux dires du conseiller municipal Alain Vidril est inutile et redondant...". Alain Vidril n'a jamais avancé de tels propos, il le prouve très justement.
Sentant irrémediablement l'humiliation venir pour ses deux adjoints, le maitre des lieux n'a plus pour solution que d'user de son pouvoir de censure des débats, se référant alors au règlement du conseil municipal qu'il avait si prestement oublié pour son adjointe.
Un rêglement pour les uns et pas pour les autres, une loi pour les uns et pas pour les autres, un principe bien connu de la part de Louis Husson le XIV.
Aurore Colin et jean-Michel Bruneau, objectivement en faute, ne daignent s'excuser pour leur "mauvaise lecture/interprétation" de la limpide question écrite d'Alain Vidril... pas plus que Lionel Aurry pour ses menaces et la diffamation publique d'arnolphiens en conseil municipal...
... 2020, on change pour un maire et des conseillers municipaux respectueux et bien éduqués ? encore faut-il les trouver 🙂 !
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