Pourquoi ce retour en arrière de nombreux mois concernant les plaintes déposées contre l'association Comités de Quartiers ? parce que notre maire lors d'un récent conseil municipal a avancé considérer que ces dernières n'étaient pas "classées sans suite".
Nous allons parler de 2 plaintes spécifiquement dirigées contre Comités de Quartiers mais on compte au moins 9 plaintes déposées par notre maire (contre des personnes qui n'étaient pas d'accord avec elle) classées sans suite... oh pardon Mme le maire "des plaintes qui n'ont de nombreux mois après leur dépôt, conduit à aucune condamnation et dont personne n'entend plus parler" :).
Donc un petit retour en arrière pour montrer à chacun(e)s l'absurdité des plaintes, montrant en conséquence leur évident "classement sans suite".
1) plainte en diffamation
La diffamation est définie comme suit: "La diffamation consiste à affirmer un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération d'une personne. Le fait en question doit être suffisamment précis pour pouvoir faire l'objet de preuve."
La plainte avait été déposée sur la constatation que dans les articles du site Comités de Quartiers Joëlle Jégat était surnommée "Ginger Iznogoude" (voir article)(voir article) ce qui n'est aucunement un fait, tout juste un acte de caricature.
Vous ne voyez pas le lien avec une diffamation ? nous non plus et la gendarmerie non plus.
L’article 11 de la Déclaration des Droits de l'Homme dispose : « la libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme ; tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement... Puisque la caricature représente une forme d’expression des opinions et des pensées, elle jouit de la liberté d’expression.
2) Communication d'une "supposée" lettre de démission d'une adjointe dans un article
Dans ce cas on passe à la dimension Poznave du Concombre masqué: "tout ce qui existe est concevable, tout ce qui est concevable existe" parce que notre maire était alors probablement dans une autre dimension parallèle.
Nous vous suggérons de lire ou relire l'article qui relatait les informations liées à la démissions de l'adjoint(e),; remettant en cause le premier adjoint Arnaud Baguenier: lire l'article
Dans la bande audio de l'enregistrement disponible dans l'article cité ci-dessus notre maire dit clairement que l'intervenant peut publier le courrier lu en conseil, elle lui donne son autorisation.
La plainte portait sur la communication contestée de la dite lettre au arnolphien(ne)s alors que Joëlle Jégat avait elle même accepté sa publication.
Se plaindre de la communication d'un document pour lequel on donne son accord... c'est fort non ?
Comment voulez vous que la gendarmerie donne suite à cette pantalonnade ? cela a évidemment été classé sans suite
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