Au bout d'un moment "y'en a marre" 🙂
La mairie / notre maire Joëlle Jégat a attaqué à au moins 9 occasions les petits canailloux qui osaient user de leur droit d'expression protégé par notre appréciée République. Toutes ces plaintes ont été classées sans suite.
L'utilisation du harcèlement des arnolphien(ne)s libres et non soumis(es) pour essayer de les faire taire.... ça n'a pas marché et ça ne marchera jamais :). Les règles de la République et leur motivation resteront plus fortes que les contrariétés puériles de certains élu(e)s locaux(ales).
Les dépôts de plaintes infondées ne sont pas les seules "contrariétés" opposées à ces petits canailloux.
Certains services municipaux sont aussi mis à contribution pour empêcher la liberté expression de certain(e)s arnolphien(ne)s ou associations.
L'association Comités de Quartiers a tenté d'organiser une réunion publique. Vous savez, ce type d'occasions que notre maire et son équipe vous promettaient pour vous informer et recueillir votre avis sur les dossiers arnolphiens. Rappelez vous des réunions de quartiers au sein de "conseils de quartiers" promis mais abandonnés avant même la première par Michel "AS de la pétoche" Jolly adjoint à la sécurité. Abandon de cette promesse de campagne dû à la peur de nos élu(e)s de la majorité de vous rencontrer et discuter avec vous :). "Diriger la ville derrière un bureau".
Et bien nous sommes beaucoup à en avoir marre de ne pas vous rencontrer en présence d'élu(e)s, avec un droit de parole libre pour toutes et tous (interdit à présent en conseil municipal), vous entendre et pouvoir discuter avec eux et vous.
L'association Comités de Quartiers a donc tenté d'organiser une réunion publique sur le thème de "la sécurité de circulation des vélos et des enfants à Saint Arnoult". Chacun(e) pourra admettre facilement que le thème de cette réunion n'était aucunement polémique ou "politique", avait pour seul objectif de recueillir les avis et et les idées sur leur cadre de vie des arnolphien(ne)s pour en faire bénéficier la mairie... et donc potentiellement les arnolphien(ne)s à savoir vous.
Après avoir validé avec le service communal compétent la disponibilité de la salle Victor Hugo le 19 janvier 2024 à partir de 19h45, nous avons adressé comme tout le monde le fait en tel cas à Mr Gilles Mainvis (ce nom est public, il figure dans toutes les éditions de l'Eclair) qui est le Rédacteur de L'Eclair une demande de publication dans la rubrique "agenda" de l'Eclair de janvier 2024 de la dite réunion. Pour information des arnolphien(ne)s. C'est comme cela que se fait une demande de publication dans l'Eclair.
La date de notre demande était compatible avec l'intégration d'une telle demande dans la rubrique concernée de l'Eclair (information jamais démentie par la mairie).
L'Eclair de janvier 2024 publié, point de date de notre réunion publique dans la dite publication. Sans aucune information ou justification préalable (ni postérieur) du même Rédacteur sur la non prise en compte de notre demande. Comme si "on" n'existait pas, mépris total.
En premier lieu vous pourrez penser qu'il peut s'agir d'un malencontreux oubli ou concours de circonstance qui à conduit à cet oubli 🙂
Malheureusement "les services municipaux" n'en sont pas à "leur coup d'essai" de suspicion de discrimination entre "les gens ou associations normaux" et les "gens et associations qui ne plaisent pas à notre maire et son équipe... comme "ces gens là" :)".
Toute association "loi de 1901" ayant son siège social à Saint Arnoult, déclarée à "la Préfecture" et assurée peut disposer d'une salle communale pour ses réunions. Alors pourquoi donc l'association ADEA2, contestant certains points prévus par le Plan Local D'Urbanisme (demande d'entrevue refusée par la mairie), alors légalement déclarée et assurée, s'est elle vue refuser de disposer d'une salle communale pour ses premières réunions ?
... Alors que les autres associations dans la même situation pouvaient le faire ? discrimination ?
Sans explication ou information complémentaire, un(e) employé(e) communal(e) chargé de donner suite à une demande d'un(e) administré(e) est responsable de la bonne prise en compte de cette dernière, de la suite donnée et du résultat obtenu.
Ce(tte) employé(e) municipal(e) est RESPONSABLE de ces actes.
En conséquence de la non publication de notre réunion dans l'Eclair, ajouté au refus de salle à l'association ADEA2 sans excuse aucune ou valable, l'association Comité de Quartiers a envoyé à Mme la Procureur de la République des Yvelines une demande de dépôt de plainte contre le rédacteur de l'Eclair pour "Discrimination*", avec au minimum une convocation du dit Rédacteur de l'Eclair à la gendarmerie pour qu'il s'explique sur la dite affaire.
12 mars 2024, on attends toujours la suite....
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